Dossier : couloirs de bus

Questions fréquemment posées au sujet de la cohabitation bus/vélos dans les couloirs réservés

Est-ce une bonne solution ?

 C’est une excellente solution aujourd’hui. la cohabitation est bonne et les accidents peu nombreux.

Quelles sont les limites de la cohabitation ?

 Les limites seront atteintes quand les cyclistes constitueront une véritable gêne aux bus. Il sera alors temps de supprimer une voie voiture supplémentaire pour faire une voie réservée aux vélos.

Pourquoi utiliser les couloirs et pas un autre espace de la voirie ?

 Parce que la circulation y est plus fluide, que les cyclistes étant les plus lents doivent pouvoir accéder au trottoir sans avoir à traverser une voie

 Parce qu’ainsi on ne prend pas de place aux piétons

 Parce que les conducteurs y circulant sont des pros, que les cyclistes y sont plus visibles que sur une piste en dehors de la chaussée

De plus en plus de couloirs sont ouverts aux deux roues mais certains restent toujours interdits du fait de leurs configurations (largeur…), existe-t-il des solutions ?

 L’interdiction est une mauvaise solution. Même étroits les couloirs restent le meilleur lieu pour les vélos. Il est curieux que les vélos y soient interdits mais pas les livraisons : la gêne évoquée est un mauvais argument.

Avec la multiplication du nombre de vélos depuis l’ouverture de Vélib’ et l’augmentation des autres utilisateurs (taxi, véhicule d’urgence…) est-ce que l’on n’atteint pas une limite au niveau de la sécurité ?

 Non on est loin de cette limite qui restera à constater, par exemple par une baisse de la vitesse commerciale des bus

 La limite, qui dépendra des fréquences des bus, pourrait possiblement être atteinte lorsque la part modale du vélo dans les déplacements dépassera 10 à 15%.

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