n°72 (mars-avril 2003)

Nos adhérents sont formidables !

Que ce soit pour aller courir le pavé parisien afin de recueillir les données de la future carte des aménagements parisiens ou pour héberger les futurs participants au congrès Velo-city, il suffit qu’on lance l’appel par le biais de Roue Libre ou du courriel et les volontaires affluent. Cette bonne volonté est réconfortante pour des membres du bureau un peu débordés par les tâches. Sans nouvelle de notre demande de subvention à la Ville de Paris, nous ne pouvons pas envisager pour l’instant de recruter un permanent. Son absence se fait cruellement sentir, ne serait-ce que pour solliciter plus souvent vos coups de main. Tout le monde n’a pas une adresse e-mail et nous sommes mal organisés pour adresser des circulaires. Les relances téléphoniques sont lourdes !

Comment pérenniser ces engagements fugaces dont nous vous savons capables ? Cette question nous nous la posons souvent, et puis, repris par l’urgence, nous parons au plus pressé : telle réunion, telle action à préparer, tel courrier à faire, telle relance à faire, tel article à écrire.
Comme dans toutes les organisations il est un peu difficile de rentrer dans l’exécutif ! Les adhérents qui passent nous voir lors des permanences arrivent le plus souvent pleins de bonne volonté, mais nous reculons parfois devant la délégation qui nécessiterait de prendre le temps de leur confier des boulots… alors, déçus sans doute, ils ne reviennent pas. Ce n’est pourtant pas le travail qui manque.
Chacun peut apporter en fonction de ses capacités. Parmi les derniers adhérents à avoir rejoint le bureau certains ont à leur actif la redynamisation du site web du MDB. Cette réussite, comme celle des exemples cités plus haut, montre la nécessité de relancer le groupe en combinant le dynamisme de nouveaux membres actifs avec l’expérience des plus anciens.

Ces exemples montrent aussi que de nombreux adhérents souhaitent s’impliquer plus dans l’action du MDB, sans obligatoirement faire partie de son bureau. Le bureau actuel soumettra à la prochaine Assemblée Générale diverses modifications statutaires, dont la création, comme dans beaucoup d’associations, d’un conseil d’administration destiné à accueillir ces bonnes volontés.

L’assemblée générale doit être un moment important de la vie d’une association. C’est elle qui adapte les statuts, qui impulse de nouvelles orientations, qui donne la ligne prioritaire. C’est aussi un moment privilégié pour que les adhérents rejoignent l’équipe d’animation, au bureau ou au conseil d’administration.

Alors n’hésitez pas ! Bloquez dès aujourd’hui votre samedi 26 avril !

Pierre Toulouse

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